L’Heureux Tour 2023

Nouvelle balade avec les Potos, sous le soleil printanier auvergnat !

Marc organisait une petite balade en Auvergne.
Condat n’étant pas Murol, et avril étant avant mai, les probabilités d’avoir la météo dantesque connue lors d’une précédente rencontre moto dans le coin avec les Potos …en mai 2006… auraient relevé de la pure coincidence !

Les coincidences n’existent pas !

Il n’empêche, retrouver les Potos, même sous la pluie, autour d’une bonne table et de verres débordants d’amitié et de bienveillance, c’était vraiment topissime !

Une balade qui portait vraiment bien son nom !

Vêtements chauffants Keis : pantalon T103RP et veste J505RP

Signe de la vieillerie qui fait son oeuvre, et avant de passer à la remorque pour les liaisons, le Père Noël m’a ramené un pantalon chauffant, puis les soldes m’ont rapportés une veste.

Après avoir étudié ce qui se faisait, j’hésitais entre Macna et Keis.

Le Père Noël a apporté une veste Macna à ma chérie (qui en est ravie, en usage non moto pour l’instant, sur batterie), et un pantalon Keis pour moi.
Je l’ai complété par la veste de la même marque profitant des soldes.
La marque est peu répandue en France (en tout cas, jamais vue en magasin), mais qui fait l’unanimité sur plusieurs chaînes YouTube anglaises que je suis.
En là-bas, la météo froide et humide, ils connaissent ^^
J’ai tout acheté sur le site Ixtem Moto (la veste Macna aussi) : tarifs compétitifs, service impeccable.

Présentation
Pour les unboxing, la marque fait ça très bien sur sa chaîne YouTube :

Le pantalon : https://youtu.be/c2jQsUajFU4


La veste : https://www.youtube.com/embed/oZ9mvTZGGHE

Connexion en direct à la batterie (tout est livré avec, avec porte-fusible et fusibles).
Le pantalon se branche également directement sur la veste, qui se branche sur la moto.
Il y a plusieurs fusibles dans la boîte de la veste (un seul dans celle du pantalon), selon la configuration utilisée (veste seule, pantalon seul, veste + gants, …)

Là encore, le branchement est très clairement expliqué sur la vidéo de la marque : https://youtu.be/42IueBgKvpg


Avis
Testé d’abord sur une petite sortie par 5°.
Ca chauffe très bien, le niveau le plus faible est amplement suffisant (la veste et le pantalon étant coupe-vent et doublés, ils sont isolants et chauds par eux-même).

3 niveaux de chauffe pour chacun des éléments.
Ces niveaux se règlent avec une télécommande, et c’est encore une fois, très bien expliqué sur leur chaîne (https://youtu.be/Uuezrs-MZkQ)


Dommage, on doit brancher les télécommandes de chacun (veste et pantalon), mais ça permet d’un autre côté de régler l’un et l’autre indépendamment.
Si on ne met qu’une seule télécommande, elle commande l’élément sur lequel elle est branché, l’autre chauffe à fond #barbecue.
On peut ajouter les chaussettes et les gants chauffants de la marque, les câbles et branchements sont déjà présents dans la veste et le pantalon (les gants peuvent être gérés indépendamment -ils ont une touche sur le dessus-, les chaussettes jumelées au pantalon et sa commande).

Le livret mode d’emploi est aussi très complet, avec un dessus très clair sur les branchements possibles, et l’ampérage du fusible (plusieurs sont fournis) selon les configurations (veste seule, avec gant, avec pantalon, …)

Gros test sur un aller-retour en Normandie, avec quelques petits détours pour être sûr 😉, courant janvier.
Du coup, ça donne un test de plus de 600km en 3 jours, avec des températures de +6° à 0° à l’aller, et de +3° à -3° au retour.

https://www.youtube.com/shorts/0MRFnj0RDWE

Le mode d’emploi précise qu’il faut porter une épaisseur sous les vêtements chauffants, et, pour avoir testé en mode le plus chaud, oui, c’est nécessaire, parce que ça fait vite barbecue !

Pour les deux trajets, je portais en bas un collant chaud technique sous le pantalon chauffant, lui-même sous le pantalon moto (ça donne un poil serré, mais très confortable), et en haut, un t-shirt technique à manches longues, la veste chauffante et le blouson moto sans sa doublure.
Le niveau un est amplement suffisant au-dessus de 5°, surtout sur le réseau secondaire.
A vitesse plus élevée ou par temps plus froid, le niveau moyen est parfait.
Finis les frissons quand on sent le petit courant d’air froid commencer à se glisser dans un interstice dans le cou ou en bas du blouson !

J’ai eu recours au niveau le plus fort sur le fin du retour, quelques minutes seulement : il faisait très humide en plus du froid, avec un peu de vent, et un bout de voie rapide.
Je dois vérifier la position du sous-pantalon une fois assis : j’avais une marque sur le genou. A priori deux résistances qui dont comprimées fort sur le genou par la coque de protection du pantalon moto. Et là, ça chauffe fort !!!

Pour le confort, c’est en haut que c’est remarquable : plus engoncé du tout par les multiples épaisseurs (j’avais pris l’habitude de superposer les couches de vêtements techniques course à pied et vélo : c’est fin, ça évacue la transpiration et c’est chaud… jusqu’à ce que le froid finisse par passer…).

Avec les manchons (oui, c’est moche), les poignées chauffantes, la selle chauffante, une bonne cagoule, il ne reste plus qu’à surveiller l’état de la route parce qu’on en oublierait facilement que c’est l’hiver, et que les parties ombragées, encaissées et les ponts sont des pièges à verglas !

Je n’ai pas constaté de surconsommation de la moto par rapport au même trajet sans les vêtements chauffants (effectué par des températures comparables début décembre).

Par la suite, j’ai fait un aller-retour Vendée-Auvergne avec le pantalon sans sous pantalon, et la veste comme précédemment, avec chauffe intermittente (moins de 10° en partant les matins) : le confort est royal, et la fatigue est repoussée très largement !

Avesnois 2022 : c’est le Nooooord !

Il était temps de changer d’air !

Merci à ma chérie de m’avoir poussé à aller retrouver les copains à l’autre bout de la France !

Une énorme bouffée d’air que de retrouver les copains, pas vus pour certains depuis plusieurs années.

Votre amitié, votre bienveillance, votre écoute m’ont fait un bien fou ; la motothérapie de groupe, ça vaut tous les antidépresseurs et anxiolytiques du monde !

Un grand merci à toutes et tous, et plus particulièrement à mon petit Pierrot pour son acceptation de dernière minute (oui, Sophie m’a presque mis à la porte ^^), sa gentillesse proportionnelle à ses mensurations et son organisation sans faille !

Le trajet : MacMahon dirait « Que d’eau, que d’eau… »


Malgré un coup de chaud en cette période de pénurie de carburant (plein alors qu’il restait moins de 20km d’autonomie, à 80km de Paris…), arrivé à bon port (expression de circonstances !).
J’avais même les attributs de l’homme parfait : une BMW, de la moutarde, et le plein de carburant !

Le premier jour, après une petite raclette, « que d’eau, que d’eau… »

Mais après une pause café, c’est pause resto…

La route sèche rapidement, et le rythme devient plus enjoué !

Après une nuit au calme (avantage de la bière avec les antidépresseurs et les anxiolytiques : tu dors très profondément et très vite !), et une petite tarte au maroilles (weekend diététique), c’est une belle matinée ensoleillée à enrouler avec les potos.

Bien sûr, une pause café nous attends pour récupérer des quelques virolos matinaux…

Puis c’est resto dans la guinguette du midi, avant le retour vers la région parisienne… sous la pluie… mais avec des munitions (ne pas fumer en ouvrant le topcase !!!!)

Un passage par la Normandie (autant profiter de la météo jusqu’au bout) pour aller voir les parents -et récupérer une caisse de Cheverny et une autre de Kirin.

et retour à la maison avec presque 2000km au compteur en 5 jours !

Bon, il y a aussi les images qui bougent :

https://youtu.be/FiHIBNedCDo

MotoTour2022, épisode 8 : Les Grands Cols

Que des « petits » cols au programme… Vars, Izoard, Lautaret, Galibier, Télégraphe, Iseran, Roselend…

Sans doute trop à faire en une journée.
On l’avait pourtant fait il y a quelques années avec Sophie, mais on n’a pas rajeuni depuis 2009…
Avec en plus la chaleur étouffante des derniers jours et la fatigue accumulée, et la chute à l’arrêt de la veille (avec psychotage à chaque arrêt et chaque démarrage depuis… et un rythme encore plus « balade » également), ça faisait trop, même si le plaisir a bien été présent d’un bout à l’autre.

Départ tranquille vers 10h de Jausiers, et une montée d’échauffement vers le col de Vars.

On enchaine ensuite sur le merveilleux col d’Izoard, sans aucun doute un de mes cols préférés.

Une longue pause à la Casse Déserte, avec plein de photos… et un long moment de contemplation des merveilles de la nature.

Une formidable épouse, un magnifique paysage, un temps idéal… l’esprit s’apaise quelques instants !

Puis, après la chouette descente,

c’est parti pour la liaison monotone jusqu’au Lautaret, avant d’enchainer avec le majestueux col du Galibier.

Descente classique ensuite vers le Télégraphe.

Là, j’aurais du être moins gourmand, et partir à gauche vers la Madeleine, mais c’est à droite et vers l’Iseran qu’on va…
C’était sans doute pour le cocher une nouvelle fois, parce que malgré l’altitude, je ne le trouve ni somptueux comme l’Izoard, ni amusant comme le Passo di Giau (ou même les Aravis pourtant « tout petit ») ou le Grand St Bernard. On ne s’y arrête même pas d’ailleurs… donc pas de photo…

Bon, quitte à être gourmands, autant enchainer vers le Roselend… mais, là, il y a un peu de vent, le jour tombe, donc on file vers l’hôtel, sans s’arrêter ni au sommet, ni à la chapelle…
Oui, on va être obligés d’y retourner !! Encore !

Le lendemain sera une balade tranquille vers les Saisies, les Aravis, un peu du lac d’Annecy depuis les hauteurs avant la route de retour à la maison.

Les images qui bougent :

MotoTour2022, épisode 7 : col de la Bonette

Après le Sud de la Route des Grandes Alpes, petite liaison « tranquille » vers Jausiers avec le somptueux col de la Bonette !

Après les épisodes précédents (la liaison vers Aix en Provence, le Ventoux, le Sud de la Route des Grandes Alpes), direction le Nord.

On est dimanche, donc on profite de la fête patronale de St Martin Vésubie (la première depuis 2019 !).

Puis c’est parti en remontant d’abord les gorges de la Vésubie avant d’attaquer la Bonette. C’est toujours aussi magique, même si ce côté est moins majestueux que depuis Jausiers.

Pause habituelle au camp des Fourches.

Camp Fourches 1
Camp Fourches 2
Camp Fourches 3

C’est au moment de repartir après ces quelques clichés que nous avons notre première frayeur du voyage : alors que d’habitude je pose toujours le pied gauche pour m’arrêter, au moment de repartir, du fait de l’absence de visibilité, j’essaye bêtement de poser le pied droit…

Camp Fourches 4


Route en léger dévers, bord de chaussée gravillonneux, moto (260kg) chargée à bloc, et jambes trop courtes (et instinct de préservation du genou opéré 6 mois plus tôt)…
Paf !

Double déclenchement d’airbags (qui amortissent bien nos chutes), moto retournée, Sophie secouée, Michio énervé, …
Après avoir calmé Sophie (le fiston pompier et la gentille automobiliste derrière qui la conforte aussi), il faut la relever la grosse (la moto, hein…).

Ooops

Mais c’est bon, à part l’amour propre (et au point où j’en suis…), une petite douleur au coude / épaule pour chacun, l’essentiel est sauf : la moto n’a rien.

Rien 1
Rien 2

Malheureusement, je n’avais pas mis encore la caméra en route, a posteriori, ça aurait été marrant.

On repart d’abord vers le sommet, avec les clichés qui vont bien… tellement magnifique et apaisant !

Bonette1

Sophie a besoin de souffler et garde les motos (je pense que si quelqu’un s’en était approché, elle les explosait), alors Yoshio et moi montons prendre l’air un peu plus haut encore…

Bonette2
Bonette3
Bonette4
Bonette6
Bonette6
Father and son
Toujours secouée
Perdu
Chasseur

Puis on entame la descente à la recherche d’un petit spot pour se poser, prendre le café sorti du thermos, avec les petits gâteaux achetés le matin, les pieds dans une rivière, au calme.

Calme1
Calme2
Calme3
Calme4

Ce sont ces petits moments de quiétudes que nous nous accordons systématiquement lors de nos périples qui permettent de profiter encore plus de cette nature, de ces paysages.

C’est ensuite la descente vers Jausiers, à l’Hotel le Sans Soucis, où nous avions déjà séjourné une dizaine d’année plus tôt.
L’accueil est toujours aussi sympathique, la cuisine faite maison délicieuse et les chambres de la dépendance très confortable (même si les 40° ont bien chauffé les lieux).

En attendant la groooooossse étape du lendemain (avec une avalanche de cols : Vars, Izoard, Lautaret, Galibier, Télégraphe, Iseran, Roselend -c’était trop en vrai), les images qui bougent.

MotoTour 2022, épisode 6 : la Route des Grandes Alpes.

Accueil épisode 6
Utelle

Col de Turini, col de Castillon, Authion et Madone d’Utelle : on attaque la Route des Grandes Alpes.

Après la longue étape de liaison de la veille (https://michiokurata.com/?p=1715), petite journée de balade en local (on est samedi 31 juillet, noir sur les routes, on va rester dans l’arrière pays, avec zapping du Col d’Eze malheureusement, mais le secteur Nice Menton dans ces conditions avec plus de 35° annoncés en plus, pas question !)

Une belle journée commence par un bon gros petit déjeuner (vu les prix pratiqués dans le secteur dans la période, c’est un rapport qualité prix juste passable, mébon c’est le jeu ma pov’Lucette)
*je ferai sans doute un petit article « coup de gueule » hôtellerie restauration, même si l’accueil était globalement impeccable et sympathique partout sur notre route (avec une mention spéciale dès maintenant pour l’hotel La Châtaigneraie à St Martin Vésubie, qui est fermé administrativement depuis des mois, mais qui a confirmé par mail à Yoshio sa réservation fin mai !!! Tu trouves comment à 1000 bornes de chez toi pour te loger 2 jours en pleine saison ? Un seul qualificatif me vient à l’esprit, mais comme je suis poli, je ne traite pas les gens de connards de manière publique)

Petite journée de balade en local : on est samedi 31 juillet, jour noir sur les routes, j’ai donc programmé de rester dans l’arrière pays, avec zapping du Col d’Eze malheureusement comme conséquence, mais le secteur Nice Menton dans les bouchons, avec plus de 35° en plus, pas question !

Miam

Puis c’est le départ vers la col de Turini, gentiment agrémenté d’un bon stock de gravillons.

Pause photo de famille (comme quoi moto + famille > antidépresseur + anxiolytiques) :

Family

Au moins, on aura été très prudent, d’autant que l’énorme orage de la veille a provoqué de gros ruissellements sur les routes, très sales. On enchaine ensuite avec le col de Castillon.

Ne trouvant pas de troquet ouvert, on repart dans l’autre sens, Castillon et Turini avant de bifurquer vers l’Authion, sur recommandation de notre hotelier.

Authion 1
Authion 2
Authion 3
Authion 4
Authion 5
Authion 6

Malheureusement, le temps est un peu bouché, le vent bien frisquet, donc on profite juste de la vue, on prend notre petit café sorti du thermos, et on redescend vers la Madone d’Utelle.

Un paysage magnifique, une petite route étroite qui impose la prudence et permet de profiter pleinement de la vue, d’autant que le soleil (brûlant) a fait son retour… oui, c’est le Suuuuuuud.

Utelle 1
Utelle 2
Utelle 3
Utelle 4
Utelle 5

Nous sommes resté un très long moment là-haut, à contempler le paysage, à s’oxygéner et admirer dans un calme absolu le spectacle de la nature.

Utelle 6
Utelle 7
Utelle 8
Utelle 9
Chasseur de pur sang à l’affut
Utelle 10
Oui, oui, la GSA est en off road 🤣
Utelle 11
Le Golfe d’Antibes

Splendide, un must do découvert par hasard en peaufinant mes itinéraires !

En rentre par la même route qu’à l’aller, avant une bonne nuit de repos avant la courte (mais pleine de péripéties…) étape du lendemain : direction Jausiers par la Cime de la Bonette.

Les images qui bougent de cette journée :

Voyage à moto MotoTour 2022, épisode 3, 4 et 5 : Gorges du Verdon, Gorges de Daluis, Col de la Couillole

Magnifique étape de liaison de Aix-en-Provence à St Martin Vésubie,

Faire une étape de liaison n’empêche pas de prendre des jolies routes avec de jolis paysages !

Après notre épisode 2, on retrouve Yoshio à Lambesc (la fada a fait La Roche-sur-Yon – Avignon la veille, tout par les petites routes, sans préparer d’itinéraire ni savoir où il allait dormir, un warrior, quoi…)

GIGN... ou pas
(ceci n’est pas un terroriste ni un motard intégriste)
Il a pris du gras et perdu du muscle le cochon
(Moto bien chargée, comme son conducteur…)

Bon, on est quand même là pour rouler !
Alors, c’est parti…
D’abord direction les Gorges du Verdon…

Lac de Ste Croix

avec le passage obligé du Lac de Ste Croix,

Le Yoshio encagoulé !
Ceci n’est pas non plus le GIGN qui désamorce un IED

Avant de faire une petite pause pizza à Castelane (on sent que les motards sont les bienvenus : grande place avec plein de places spécifique, avec en plus plein de restaurants).

Chapelle Notre Dame du Roc
Miam !
Pas chère, délicieuse, service souriant, just perfect !

Puis c’est le moment de reprendre la route.
Interruption le temps de s’équiper à temps avant de prendre la fin d’un très violent orage avec ensuite une route détrempée, qui deviendra un peu plus loin très sale avec les chutes de branches et le ruissellement par endroit (limite piégeur le lendemain par temps sec…).

Le soleil revient, mais la route est détrempée

Mais c’est le Suuuuud ! Alors le soleil reviendra rapidement, donc on commence par débâcher avant de continuer et de profiter des Gorges de Daluis, puis du col de la Couillole (oui, il se mérite) …

Débachage

Gorges de Daluis

Les images qui bougent des trois épisodes :

Voyage à moto MotoTour 2022, épisode 2

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Première journée de balade : le Mont Ventoux depuis Sault puis les Gorges de la Nesque.
(vidéo en fin d’article)

Depuis le temps qu’on voulait le faire : le Mont Ventoux, le Géant de Provence, le Mont Chauve !
Après quelques kilomètres de liaison, les petits virolos du Suuuud s’enchaînent avec de jolis points de vue.

Vue en chemin
Vue en chemin
Bogosses

Finalement assez peu de monde, et une voie dédiée pour les cyclistes, génial pour la sécurité, ce qui rend la montée plaisante.
Le Mont fait son apparition, disparait dans une courbe pour réapparaître au virage suivant, avant la longue ligne droite finale.

Ventoux en vue

Le superbe panorama s’offre à nous…

Panorama
Bogosses bis
GSA et Ventoux
Antenne du Ventoux

C’est parti ensuite vers les Gorges de la Nesque, un must motardesque, avec une liaison qui fait passer au milieu des vignes et des champs de lavandes.

Le route vient d’être refaite, disparus ces serpentins bitumeux qui semblent être une spécialité locale, et qui avec la chaleur sont particulièrement piégeux, même à allure très modérée (on est là pour profiter du paysage, des odeurs de la garrigue, …).

Nesque

Route parfaite, paysages majestueux, virolos à gogo, juste parfait !

Magnifique gorges

Le lendemain, il est temps de profiter de notre hôte Pascalou : il nous fait un parfait tour découverte d’Aix-en-Provence le matin,

Aix nageur
Aix fontaine
Aix chapelle
Aix Tour
Aix à l'heure
Oui, elle est toujours à l’heure !!!

Puis une après-midi de repos au bord de la piscine à profiter du chant des cigales avant la longue liaison de demain.
Et observer les geckos se balader le soir !


Merci mon poto pour ton accueil, tes délicates attentions et ta légendaire gentillesse !

Les images qui bougent de cet épisode

https://youtu.be/1FTguk0xfw0

Demain, c’est parti pour la liaison vers St Martin Vésubie, en retrouvant Yoshio en route.
Ce sera aussi le seul passage avec un peu de pluie de tout le périple !

Voyage à moto MotoTour 2022, épisode 1

Viaduc Millau

Etape de liaison de La Roche-sur-Yon à Aix en Provence, avec une étape à Rodez, en passant sous le Viaduc de Millau et par le Mont Aigoual (vidéo en fin d’article).

Qui dit belle balade dit bons pneus !

Bye bye les Michelin Anakee Adventure avec lesquels je ne me suis jamais senti à l’aise (sans doute leur profil qui ne me convenait pas) pour des Metzeler Tourance Next2, la première itération ayant fait mon bonheur (et le malheur des cale-pieds) sur la Super Ténéré !

Un départ sous une petite bruine, parfaite pour hydrater l’épiderme, pour une liaison par les petites routes vers Rodez.
Sans grande saveur jusqu’à Périgueux, j’ai même du m’endormir sur la route…

PV

puis de beaux virolos par Sarlat, Rocamadour, Figeac jusqu’à Rodez, sous une chaleur de plomb.

Une petite promenade nocturne, mais j’avoue que nous n’avons pas du tout été charmés par Rodez, avec notamment une magnifique cathédrale absolument pas mise en valeur (le container poubelle sur le côté sont du meilleur goût), et l’absence de panorama malgré la situation géographique de la ville…

Cathédrale Rodez

Le lendemain, longue liaison, avec un passage par un petit bout du Parc Régional des Causses jusqu’à Millau et son majestueux viaduc,

Viaduc Millau

avant de traverser la Parc National des Cévennes, Mont Aigoual et son panorama compris.

Après avoir réussi à convaincre Sophie qu’il fallait quand même y aller, réveillé la moto assoupie…

R1250 GSA Triple Black

…et vérifié l’état du pneu après 800km de rodage (c’est bon, si je paye toute la gomme, j’utilise toute la gomme possible)…

Tourance Next2 propre

c’est parti jusqu’à St Jean du Gard, avant une partie à nouveau sous le brûlant soleil du Suuuud, avant d’aller profiter de la piscine du Poto Pascalou…

Piscine Pascalou

La version avec les images qui bougent :

https://youtu.be/HF3X–2ABAY

Teaser de notre balade MotoTour 2022

Mont Aigoual, Mont Ventoux, Gorges de la Nesque, puis un beau morceau de la Route des Grandes Alpes : col de Castillon, col de Turini, col de la Couillole, col St Martin, col de la Bonette, col de Vars, col d’Izoard, col du Lautaret, col du Galibier, col du Télégraphe, col de l’Iseran, Cormet de Roselend, col des Saisies, col des Aravis.

En attendant d’avoir fini de développer les photos et les vidéos, un petit teaser de ce qui vous attend, ou pas, si vous êtes (très) patients !
Bon, quand tu achètes des micros pour avoir le son du bon gros flat twin et que tu les oublies à la maison, tu vas devoir bidouiller avec les musiques proposées par YouTube…

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English version

Mont Aigoual, Mont Ventoux, Gorges de la Nesque, then the most part of la Route des Grandes Alpes : col de Castillon, col de Turini, col de la Couillole, col St Martin, col de la Bonette, col de Vars, col d’Izoard, col du Lautaret, col du Galibier, col du Télégraphe, col de l’Iseran, Cormet de Roselend, col des Saisies, col des Aravis.

Before having the film rolls developed 😉 , a short teaser of what is to come… or not… if you are patient enough !
Also, I bought microphones to get the gorgeous flat twin sound, so I’ll have to find a way with the YouTube contents…